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Dorée Algérie

Coincé entre un passage étroit, une femme face à son destin.

Un visage pale, des douleurs, des regards, des expressions.

Une femme dont l’habille et on OR regard le future.

La belle femme par sa posture imposante  "تجذب الأنظار" .

Entouré par des êtres qui ressemble ni a des diables, ni a des humains, mais qui disent long sur tout le mal qui peuvent faire par leurs image :

Une tragédie vécue par un peuple qu’on a voulu aliéner à jamais.

Un peuple dont on a spolié terre, richesse et identité.

La jolie jeune femme est une Algérie.

Une Algérie rayonnante, plein de promesse et qui déborde d’énergie.

La jeune jolie femme est une Algérie.

Une Algérie qui porte dans son ventre plein d’espoir.

 

Des pates de cochon sur du sang de ceux qui ont sacrifié leur vie pour cette belle Algérie.

 

Le travail s’inscrit dans la continuité de ma démarche.

Entre Agitation et Propagande né le terme Agitprop.

Agitprop, est un terme, une conception que je suis entrain d’expérimenter et développer dans les arts visuels.

Agitprop, c’est agir et faire réagir celle/celui qui n'a jamais vu, jamais entendu un monde agité qui arrive, et dans lequel la place de l’esthétique, de la sensibilité et du sens n’est pas du tout assurée.

Agitprop c’est aussi un travail de mémoire pour les générations futures.

Agitprop sera un travail libre et de liberté, où la politique n’est que prétexte, rien qu’un instrument de propagande devant un mécanisme plus complexe mais accessible à tout le monde… celui du bien, du beau et du vrai.

Je suis SISYPHE

« Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dit et meurs. »

                                                                                                Tahar Djaout

 

Ce faire taire,

Mentir,

Pourrir,

Voler,

Tuer,

Trahir,

Détourner,

Corrompre, s’approprié et  rompre avec  l’opinion publique.

Je vais vous parler d’un cœur qui souffre d’avoir perdu la foi.

Errant sans fin dans la nuit sans espérance.

Ici, dans ce beau bled, il n’y a pas d’étoiles.

Ici, dans ce beau bled, il n’y a pas d’espoirs.

Ici, dans ce beau bled, nous somme raides.

Ici, dans ce beau bled, nous somme immaculés.

Ici, nous somme pas encore devenu un Mythe.

Ici, nous somme pas encore devenu des Héros.

Je vais vous parler aussi d’un héro devenu mythe qui a pris sa destinée en mains pour vivre libre :

Sisyphe selon Camus

Camus envisage Sisyphe comme un héros qui se rebelle contre les lois et qui endosse la responsabilité de son acte. Au lieu de maudire les dieux, Sisyphe décide de vivre son châtiment, en toute conscience. Par ce choix, Sisyphe s'affranchit des dieux et devient libre de vivre la destinée qu'il s'est choisi. Chaque instant de cette vie difficile lui appartient. Il n'est plus condamné à monter le rocher, il choisit de le faire et devient maître de son destin.  Le travail sans fin de Sisyphe, c'est l'existence humaine, la vie de l'Homme. Cette vie, chacun peut la subir ou la faire sienne. Chacun peut être passif ou, comme Sisyphe, mordre à pleines dents dans chacun des instants qui la composent…

On a compris déjà que Sisyphe est le héros absurde. Il l'est autant par ses passions que par son tourment. Son mépris des dieux, sa haine de la mort et sa passion pour la vie, lui ont valu ce supplice indicible où tout l'être s'emploie à ne rien achever. C'est le prix qu'il faut payer pour les passions de cette terre. On ne nous dit rien sur Sisyphe aux enfers. Les mythes sont faits pour que l'imagination les anime. Pour celui-ci, on voit seulement tout l'effort d'un corps tendu pour soulever l'énorme pierre, la rouler et l'aider à gravir une pente cent fois recommencée; on voit le visage crispé, la joue collée contre la pierre, le secours d'une épaule qui reçoit la masse couverte de glaise, d'un pied qui la cale, la reprise à bout de bras, la sûreté toute humaine de deux mains pleines de terre. Tout au bout de ce long effort mesuré par l'espace sans ciel et le temps sans profondeur, le but est atteint. Sisyphe regarde alors la pierre dévaler en quelques instants vers ce monde inférieur d'où il faudra la remonter vers les sommets. Il redescend dans la plaine.

Si ce mythe est tragique, c'est que son héros est conscient. Où serait en effet sa peine, si à chaque pas l'espoir de réussir le soutenait? Aujourd’hui nous somme du même sort, on subit les mêmes conditions, on s’épuise tous les jours de notre vie, aux mêmes tâches et ce destin n'est pas moins absurde. Mais il n'est tragique qu'aux rares moments où il devient conscient. Sisyphe, prolétaire des dieux, impuissant et révolté connaît toute l'étendue de sa misérable condition: c'est à elle qu'il pense pendant sa descente. La clairvoyance qui devait faire son tourment consomme du même coup sa victoire. Il n'est pas de destin qui ne se surmonte par le mépris.

Dans mon travail j’ai dessiné Sisyphe portant la pierre, comme on porte un fardeau de désespoir, un deuil, toute un monde de misère sur le dos.

Je tire ainsi de l'absurde trois conséquences qui sont ma révolte, ma liberté et ma passion. Par le seul jeu de la conscience, je transforme en règle de vie ce qui était invitation à la mort -et je refuse la tyrannie.  

Ce qui précède définit seulement une façon de penser. Maintenant, il s'agit de vivre.

                                                                       

 

 

 

 

 

 

 

                                                 Une pensé à                 Nora Nedjaï

                                                                                      Mehdi Benaïssa

                                                                                      Ryad Hartouf

 

Et a tout les autres libres échouées par l’incompréhension des uns et par l’incompétence des autres.

Victimes de l'indifférence

« On ne s’arrache pas de l’enfance, qu’elle ait été heureuse ou malheureuse ; les origines frappent le subconscient comme on le dit d’une médaille. »    

                                                                                                                                                          Louis NUCERA.

 

 

 

Baker

Hamza

Yasmin

Omar ou Tammer 

Ce que j’ai vu ma bouleversé, par la force de ces images, en une fraction de seconde l’on peut comprendre la vie de ces personnes.

Regardez- les dans les yeux…

Regardez leurs traits … leurs visages ….

Regardez ces gens, les voir dans cet état,  l’on ne peut résister, regardez des visages si jeune, si frêle vivant dans le supplice, chaque personne qui meurt, c’est un morceau de tout le monde qui meurt.

Qu’ils viennent  d’Irak, de Syrie, de la Libye ou d’ailleurs, c’est toujours le même regard, un regard calqué par la même condition humaine.

Pour rendre la démarche plus sensible, j’ai eu recours à des photos qui circulaient sur la toile et sur la sincérité de mon art j’ai pris les moins choquantes.

Ce travail s’est réalisé en alliant  des montages photos, des collages et autres matériaux visuels, un travail qui se veut dénoncer l’hypocrisie de celui qui regarde indifféremment la propagande médiatique.

Antipathie

Violence

Barbarie

Des corps humains disséqués

Tout le monde doit attentivement observer ces images, pour renouer à la médiocrité de notre espèce

Je ne m’attarderai point sur la manière dont ce projet s’est construit, ce qui m’intéresse le plus dans ce canevas  c’est la condition humaine acceptée en tant que telle par le spectateur qui reste inerte.

Par cet hommage,  je voulais construire une nouvelle façon d’observer  afin de mieux mesurer notre hypersensibilité.

Par cet hommage, je voulais crée des liens entre les choses, lier la beauté des âmes et la cruauté de la réalité, la diversité de la haine et la complexité de l’amour.

Regarder est une vérité qui ne se manifeste que pour le vrai spectateur, la vérité est une chose visuelle pour celui qui prend le temps de bien la regarder.

A la croisée des chemins

« Mon fils pose devant moi sa palette de couleurs Et me demande de lui dessiner un oiseau. Je plonge le pinceau dans la couleur grise Et lui dessine un carré Avec des barreaux et un cadenas. Mon fils me dit, tout surpris : Mais c’est une prison, père, Ne sais-tu donc pas dessiner un oiseau ? Je lui dis : Mon fils, excuse-moi, Je ne sais plus comment sont faits les oiseaux. Mon fils pose devant moi ses crayons de couleurs Et me demande de lui dessiner la mer. Je prends un crayon mine Et lui dessine un cercle noir. Mon fils me dit : Mais c’est un cercle noir, père, Ne sais-tu donc pas que la mer est bleue ? Je lui dis : écoute, mon fils, Jadis, je savais très bien dessiner les mers, Mais on m’a confisqué ma canne à pêche, On m’a pris mon bateau, On m’a interdit toute relation avec la couleur bleue, Et avec le poisson de la liberté. Mon fils pose devant moi son cahier de dessin Et me demande de lui dessiner un épi de blé. Je prends un crayon Et lui dessine un revolver. Mon fils se moque de mon ignorance Et me dit, tout étonné : Ne fais-tu donc pas la différence Entre un épi de blé et un revolver ? Je lui réponds : écoute, mon fils, Je savais jadis comment était fait l’épi de blé, Comment était la galette de pain, Comment était la rose, Mais en ce temps métallique, Où les arbres de la forêt Se sont enrôlés dans la milice Où la rose est en tenue léopard, En ce temps d’épis armés, D’oiseaux armés, De culture armée, Je n’achète pas une galette de pain Sans y trouver un revolver, Je ne cueille pas une rose dans un bosquet Sans qu’elle ne me menace de son arme, Je ne feuillette pas un livre dans une librairie Sans qu’il n’explose entre mes mains. Mon fils s’assoit sur le bord de mon lit Et me demande de lui réciter un poème. Je verse une larme sur l’oreiller. Il la ramasse et me dit : Mais c’est une larme, père, et non un poème, Je lui dis : Quand tu seras grand Et que tu liras la somme de la poésie arabe, Tu sauras que le mot et la larme sont frère et sœur Et que le poème arabe N’est qu’une larme qui coule entre les doigts. Mon fils pose devant moi sa boîte de couleurs Et me demande de lui dessiner une patrie. Le pinceau tremble dans ma main Et je fonds en larmes »  

Poésie amère 

de Nizar KABBANI

To be or not to be William SHAKESPEARE.

« Etre, ou ne pas être, c'est là la question. Y a-t-il plus de noblesse d'âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s'armer contre une mer de douleurs et à l'arrêter par une révolte ? Mourir... dormir, rien de plus ;... et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair : c'est là un dénouement qu'on doit souhaiter avec ferveur. Mourir... dormir, dormir ! Peut-être rêver ! Oui, là est l'embarras. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, quand nous sommes débarrassés de l'étreinte de cette vie ? Voilà qui doit nous arrêter. C'est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d'une si longue existence. Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations, et les dédains du monde, l'injure de l'oppresseur, l'humiliation de la pauvreté, les angoisses de l'amour méprisé, les lenteurs de la loi, l'insolence du pouvoir, et les rebuffades que le mérite résigné reçoit d'hommes indignes, s'il pouvait en être quitte avec un simple poinçon ?. Qui voudrait porter ces fardeaux, grogner et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort, de cette région inexplorée, d'où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, et ne nous faisait supporter les maux que nous avons par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ?. Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée, et perdent le nom d'action... Doucement, maintenant ! »

Etre, ou ne pas être,  est  une méditation sur la vie et sur la mort, un choix ultime entre vivre ou mourir, la mort elle peut être physique mais aussi dans l’âme, psychique, intellectuel…elle peut être pour Hamlet, pour Vous, elle peut être pour Nous, comme elle peut être pour toi, ou moi…

Un lien mystérieux entre effroi métaphysique et éthique. Shakespeare nous invite à nous interroger sur la façon dont notre perception de la mort est liée à la façon dont nous conduisons notre vie.

Agitation

Première Agitation

Couleurs douces, denses, textures palpables, symboles clairement reconnaissables, formes géométriques, architecturales ou naturelles, un phénomène indéniable ou mon regard est scotché à la surface de la toile qu’il parcourt, je ne peux l’arrêter. Des spatules, un support, de la couleur, je me concentre, je m’organise, fait jaillir ce qui me ronge aux tripes afin de le vider sur une surface, sur ma surface, tout en portant une attention particulière sur l’Agitation … avec agitation, parfois avec douceur, de la violence, avec énergie, sans nostalgie, avec liberté je me laisse emporté par le mouvement du geste à travers la couleur, et peu importe ce que je peins, je le peins.

« J’estime qu’il n’est plus nécessaire de s’exprimé sur ses toiles, seule comptant l’expérience du spectateur face à elle. » disait M. Rothko.

Le travail s’inscrit avant tout dans cette lignée que j’expérimente depuis une dizaine d’années ou la médina, le vieux bâti reste le centre de mon attachement en utilisant des formes qui contiennent le plus souvent des perspectives, parfois lointaines et parfois très proches, mais qui laissent toujours entrevoir des issues sous formes de portes ou de fenêtres donnant de l’espoir et de la douceur tout on accordant un intérêt particulier au coté esthétique. "La beauté doit exister partout et je tiens à ce que mes œuvres aient ce cachet" Une Expérience déjà réalisé, et dans la même lignée afin de pouvoir me rassasier une autre Agitation s’impose

Deuxième Agitation

Couleurs fauves, saturé, des masses bétonnées, des hallucinations Troubles dans le champ politique, désintéressement à la culture, des idéologies intégristes, une vie sociale inculte, iconoclaste. Une apparence incertaine ou mon regard fuit le sujet pour rester concentrer sur la surface. Sur ma surface ; à la fois des tonalités pictural, poème et épopée dont elle marque l'angoisse et le trouble, le mal du siècle, des couleurs lourdes, sourdes, parfois cette lumière blanche des rêves qui virent au cauchemar, ces formes inachevées (plutôt en phase de dissolution) ou éclatées, paraissent s'imposer… comme le prolongement d’une blessure collée à mon existence.

Un titre et un auteur me vient a l’esprit en écrivant ceci en réfléchissant a tout cela : le poète comme boxeur de KATEB Yacine. "L’histoire de KATEB Yacine, celle de sa vie comme celle de son œuvre, se confond entièrement avec celle de l’Algérie contemporaine". Quand on parle de boxe, on évoque le ring, et je pense que mon espace de travail (intérieurs et extérieurs) est devenu un ring, un champ de bataille ou l’instinct de survie me pousse dans l’univers pictural, à chercher d’abord et ensuite a trouver d’autres raisons de faire, d’autre façon de témoigné une réalité social dominé par une injustice, par une image folklorique et une culture conventionnel ou conventionné on tentant de rétablir le véritable visage de moi-même, de nous même.

A un clic des capitales du monde – Paris, New York, Berlin, Londres - où l’art est en constant mouvement, je souhaite que mon travail participe du même principe créatif qui remet en question la notion de la chose artistique. L’art évolue avec son époque (et inversement), c’est un poncif, certes, mais qu’il est bon de rappeler. Que ce soit de la rive sud de la Méditerranée, de France ou d’ailleurs, le renouvellement par le contacte, le frottement avec les confrères, avec d’autres pratiques où se mêlent talents avérés et savoirs technologiques - appelons cela l’inter-picturalité. Agitprop

Agitprop, un titre, une conception que je projette expérimenter et développé.

Agitprop c’est agir et faire réagir celle/celui qui n'a jamais vu, jamais entendu un monde agité arrive, et dans lequel la place de l’esthétique, de la sensibilité et du sens n’est pas du tout assurée. »

Agitprop sera un travail libre et de liberté, ou la politique n’est que prétexte, rien qu’un instrument de propagande devant un mécanisme plus complexe mais accessible à tout le monde… celui du bien du beau et du vrai.

Paroles de Femmes

Grand nom de la littérature algérienne d’expression française, Mohammed DIB peut indéniablement être considéré aussi comme une grande dure de la littérature universelle contemporaine. Son oeuvre, à la fois dense, riche, variée, se caractérise à la fois par un renouvellement constant des formes et des thèmes et en même temps par une sorte d’unité qui lui assure sa marque particulière et inscrit la quête qui l’habite dans un tracé très personnel. A la fois très proche de la réalité qui la détermine et portée en même temps par un mouvement qui la projette dans la recherche d’une vérité absolue, l’écriture "dibienne" nous incite à aller au-delà du miroitement illusoire du monde pour tenter de découvrir la face cachée de l’univers. Cette oeuvre fut pour moi une révélation. Elle me parle dans mon propre champ créatif, elle s’ouvre à moi comme une chorégraphie de signes, elle est une « invitation » à construire une installation dans les termes où nous le propose Lyyli Belle dans le roman L’Infante Maure(1994) : « Papa coud des histoires. Sa voix plutôt. C’est elle qui m’a cousue dans l’histoire. » Une installation qui me permet de circuler d’une oeuvre à l’autre pour en retrouver le secret de la création, pour en dégager des structures harmoniques communes aux formes complètes/ incomplètes, fragmentés, ou altérées, et inventer alors des rythmes neufs, partager des chemins de lecture en s’ouvrant à tout ce qui fait l’imaginaire. Et dans ce voyage/découverte mon désir m’a particulièrement porté vers tous ces personnages féminins qui habitent l’univers "dibien", qui en font la force et qui s’offrent comme la clé qui peut nous ouvrir sur tous les mystères du monde:«je me recouche prés d’elle, Nassa se réveille. D’un trait s’insinue une voix basse et errante, qui (…) enlace ma pensée d’un chant modulé (…) A son interrogation qui me laisse nu devant moi-même s’incorpore bientôt la douceur de la mer. J’arrive enfin à la vérité. » (QSSMp.105-106)

Le Rectangle Vertical

Le Rectangle Vertical « Si Dieu Lui-même n’avait pas voulu la répétition, le monde n’aurait jamais existé » Kierkegaard

Celui ou celle qui observe comprend rapidement que dans ce qui nous entoure Tout est répétition :

La seconde, la minute, l’heure, le temps passe et se répète … Les saisons, la traversée de la vie... Les peines, les joies, se répètent … Les doutes et les espoirs …

L’histoire elle –même se répète… Et pourtant, bien « réussir ce qui se répète » n’est jamais une chose facile...Pour qui sait entendre… Tout est virgule, ponctuation, répétition...Jusqu’au point…Final ?

Le cycle est établi …rond, comme le mouvement du Tout …comme le ventre, comme la terre, comme la vie …d’un bout à l’autre, comme la vie! Proposer une exposition avec des tableaux qui composent ce cercle est un acte du mouvement …celui que nous portons et celui qui nous porte... Il y a un mouvement auquel je souhaite vous inviter: Les tableaux présenté ici ont des numéros et pas des titres. Chacun de ces tableaux appartient désormais à votre regard, à votre émotion, à vos sens. Chacun d’entre eux est un partage qui prend place temporairement ou durablement dans votre cercle. C’est à vous de lui donner un nom, afin qu’il ne soit plus qu’un numéro, ou une chose imposée ou décidée pour vous ! Participons à cet acte artistique et faisons ensemble dans le cercle, un rectangle vertical…

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